
SUBIR une perte de revenus de 25 à 30% en moyenne pour les hospitaliers car leurs primes ne sont que partiellement prises en compte dans l’assiette pour le calcul de leur retraite de base. Ne rien faire, c’est donc accepter cet état de fait et ses conséquences.
RISQUER d’être confronté à des problèmes financiers. Les actifs sont 73% à penser que les cotisations obligatoires à la retraite de base et à la RAFP ne leur permettront pas d’avoir des revenus suffisants pour vivre correctement le moment venu. Cela veut dire aussi risquer d’être une charge pour ses enfants plus tard.
DEVOIR être contraint de retravailler pour s’en sortir. Sur 15 millions de personnes percevant une pension de retraite, 500 000 exercent en même temps une autre activité, soit entre 7 et 8% des retraités. Un chiffre qui a doublé depuis 2006 et qui n’intègre pas le travail non déclaré. Quand on a eu des métiers difficiles, comme c’est souvent le cas dans le milieu hospitalier, encore faut-il avoir l’énergie et la santé pour pouvoir le faire...
61% DES AGENTS HOSPITALIERS PENSENT QU’ILS VONT SUBIR À LA RETRAITE UNE CHUTE ALLANT DE 30% à 50% DE LEURS REVENUS
Sources : Baromètre CRH 2015
19% C’EST LE POURCENTAGE DE PERSONNES DE 50 À 59 ANS INTERROGÉES PAR L’INSEE QUI ENVISAGENT DE TRAVAILLER PENDANT LEUR RETRAITE
Sources : Baromètre du Cercle des épargnants, avril 2015