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8 juillet 2019

Retraite complémentaire: sage-femme, puéricultrice, infirmière, aide soignante... Pour chacune, préparer sa retraite c'est y souscrire

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Partir à la retraite, c’est prendre un repos bien mérité, mais soyons réalistes : c’est aussi, pour les agents, s’apprêter à vivre avec 25 à 30% de revenus en moins. Car les primes ne sont que très peu prises en compte dans le calcul de la pension de base des agents hospitaliers et les conditions de départ (trimestres requis) pour partir à taux plein (75% du traitement brut sur les 6 derniers mois d’activité) sont de plus en plus difficiles à remplir. La réforme de 2019 ne devrait rien arranger. Alors comment réagir ? Choisir une retraite complémentaire est le meilleur moyen de limiter la baisse de revenus au moment de la retraite, puisqu’elle offre un revenu versé régulièrement, à vie. En cotisant pendant la vie professionnelle, vous vous constituez un complément de revenu pour demain. Qu’il s’agisse de la retraite complémentaire des sages-femmes ou des infirmières, de la retraite complémentaire des puéricultrices ou des aides-soignantes, la solution pour compenser en partie cette baisse des revenus, c’est la Complémentaire Retraite des Hospitaliers . Conçue il y a plus de 55 ans par des Hospitaliers pour les Hospitaliers, elle est aujourd’hui numéro 1 dans la Fonction publique hospitalière, et ce n’est pas un hasard : 353 000 agents hospitaliers lui font confiance. Sûrement parce qu’elle a su adapter son offre à leurs besoins. Elle offre aussi de vrais avantages sociaux à ses affiliés, elle est notamment à leurs côtés en cas de « coup dur » : vous pouvez par exemple bénéficier d’une prise en charge de vos cotisations en cas de maladie.

Retraite complémentaire: sage-femme, puéricultrice, infirmière, aide soignante

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En 2020, la Complémentaire Retraite des Hospitaliers évolue
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Que vous soyez sage-femme, puericultrice, infirmière ou aide-soignante, faut-il prendre une complémentaire retraite ?

Sages-femmes, puéricultrices, infirmières ou aides-soignantes: pour toutes, sans exception, entre le dernier traitement perçu en activité, et la première pension de retraite, on observe actuellement une chute de revenus de l’ordre de 25 à 30%. D’abord parce que la retraite de base ne prend que très partiellement en compte les primes perçues pendant la carrière, ce qui peut représenter une part non négligeable des revenus pour les soignants. Ensuite parce qu’il faut avoir validé entre 167 et 172 trimestres (soit jusqu’à 43 ans de vie active, c’est beaucoup !) pour espérer partir à la retraite à taux plein (75% du traitement brut calculé sur les 6 derniers mois d’activité).

Et franchement, peu d’agents hospitaliers y parviennent ! Fatigués, ils partent souvent à la retraite sans avoir validé les trimestres requis, ils subissent ce qu’on appelle une décote, c’est à dire une baisse définitive de leur pension de retraite. Et la réforme des retraites qui se prépare pourrait se révéler défavorable.

Sages-femmes, puéricultrices, infirmières, aides-soignantes : la Complémentaire Retraite des Hospitaliers vous connaît bien !

La nouvelle réforme des retraites prévue pour fin 2019 ne risque pas d’inverser la tendance : depuis 2003, toutes les réformes des retraites vont dans le sens d’un durcissement des conditions de départ à la retraite. Après avoir fait ce constat plutôt alarmiste, on peut, soit s’en contenter et se préparer à réduire son train de vie jusqu’à la fin de ses jours, soit réagir et anticiper.

La Complémentaire Retraite des Hospitaliers (dont le C.G.O.S. est l’association souscriptrice) a précisément été conçue il y a plus de 55 ans, pour vous permettre de limiter cette baisse de revenus et conserver une partie de votre pouvoir d’achat à la retraite.
Les sages-femmes, les puéricultrices, les infirmières ou les aides-soignantes  qui ont souscrit à la Complémentaire Retraite des Hospitaliers et qui cotisent pendant leur carrière perçoivent, à la retraite, un revenu supplémentaire qui s’ajoute à la pension de base. Pas de doute : une complémentaire retraite, c’est la certitude, pour vous, de partir à la retraite plus tranquillement.

D’autant que la CRH vous permet aussi de profiter de vrais avantages sociaux (en cas de maladie, vous pouvez bénéficier par exemple d’une prise en charge de vos cotisations) et faire des économies sur vos impôts chaque année. 353 000 agents hospitaliers l’ont déjà choisie. Pourquoi pas vous ?

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